Après deux tentatives infructueuses pour aller voir le lac Des Pises, ça y est nous y sommes enfin arrivé… Mais en courant… Mais sans la neige par contre. La première fois c’était pour un problème d’heure et la seconde une glissade sur une plaque de verglas juste en partant et c’était l’entorse (ici). Alors on ne dit jamais deux sans trois et c’est bien ce qu’il a failli se passer. Un peu plus loin que l’endroit où j’avais dû arrêter à cause de ma cheville c’est M’sieurK qui ne veut plus avancer. Après une inspection minutieuse de ses pattes et du reste on reprend la marche mais quelque chose le gêne, il passe son temps à s’arrêter. Avant de faire demi tour pour rentrer je fais une dernière inspection de ses pattes et là… Des épillets bien cachés et plantés dans les creux de ses phalanges. Encore eux les saletés me suis-je écrié ! Enfin c’était plutôt quelque chose du genre putain de petite graine de merde, erreur de la nature !!! Alors on les a enlevé, apparemment rien n’a perforé la peau mais cela devait le gêner horriblement le pauvre. Et puis du coup c’est reparti. Un petit 14° bien agréable quand on sait qu’à Montpellier il fait plus de trente et évidemment hors de question de faire faire des efforts à un chien dans cette fournaise. Ici il fait frais, les fleurs sentent bon, les paysages sont grandioses et surtout on est vraiment tout seuls au milieu de nulle part.
Une petite vidéo vite fait :
Le parcours de 26km :
Alors j’appelle ce que l’on a réalisé un « cani-raid ». Oui ce n’est ni un « cani-cross » ni un « cani-trail ». Pourquoi ce mot de mon invention ? Parce que les chiens sont moins endurants que les humains. Un « cani-cross » dépasse rarement les 6km et encore plus rare un « cani-trail » fait à ma connaissance un max de 18km. Du coup il fallait inventer un autre mot pour une distance encore plus grande. Et voilà est né le « cani-raid ». Nous humains on appelle le footing pas plus de 10km puis les trail c’est entre 40km et 300km et viennent ensuite les raids. Donc proportionnellement… enfin on s’est compris…
Et voilà l’album photo :
Et puis découverte de la cascade d’Orgon et on ne fait pas un tour dans le massif de l’Aigoual sans monter à son sommet.
Merci, bisous merci, Pépé, Mémé 😉
Et bien voilà qui est fait! Mais Mr K, tu as oublié de passer chercher K-nelle?
Bon 26km, elle aurait pas suivi, mais contemplation au bord du lac en attendant ton retour, elle est preneuse!
Comment va le potager? Il se dit que le mildiou aime déjà les tomates,cette année… Prévoir.. fil de cuivre dans le pied et surtout préparer purin d’ortie et purin de prêle, ce sera très utile après ce printemps humide… je dis ça, j’dis rien…
Je guette et si jamais il se pointe j’achèterais de la bouillie bordelaise. Le purin d’ortie et la cendre j’aurais dû en mettre un peu lors de la plantation mais je n’avais ni le temps ni l’idée d’où j’aurais pu en trouver. Ce sera pour l’an prochain 🙂 J’aurais bien aimé voir K-nelle et M’sieurK pataugeant tous les deux dans le lac mais je suis pas sûr qu’elle tienne 26km la K-nelle.
Elles sont belles tes photos, ça donne envie, et le poussin à l’air heureux après toutes ces misères. Vivement septembre!
Biz
pépé mémé
Ça va pour lui vous en faites pas. Il fait très chaud ici et finalement c’est pas si mal pour lui sa petite coupe de poils. Ses croûtes ont disparu, il est tout neuf 😉