Quelques images en remplacement de celles du col d’Uglas et elles me rappellent à Monsieur K et moi même que nous avons de la chance d’habiter dans un chouette coin accessible directement à pied de la maison. Comme quoi il reste encore à découvrir et notamment ce petit passage du Salaison qui coule paisiblement entre les prés et les vignes dans une partie de mon arrière pays que je ne connaissais pas encore.
Départ voiture pour Mialet en ce Dimanche 24 Janvier pour aller gambader sur les crêtes Cévenoles et surtout anticiper un éventuel re-confinement très redouté. À 7h30 du matin après Quissac, de nuit il a surgit devant moi et je n’ai pu l’éviter ce pauvre sanglier. La suite fût d’autant plus tragique qu’il m’a fallut demander les « services » de deux bouchers des bois passant par là (oui des chasseurs) pour abréger les souffrances du pauvre blessé allé se réfugier dans le fossé. Méfait accompli, ils sont repartis sans état d’âme. Et dire qu’ils font cela tous les weekends par pur plaisir car ils n’ont même pas pris soin d’emporter la dépouille.
Pas de Cévennes alors mais 26km de Garrigue Clapiéroise en rentrant pour tenter d’oublier ces tristes images et la nature au Nord de Montpellier m’y a aidé.
Du bleu, ça fait du bien de voir cette rivière, on dirait que le printemps arrive chez toi, quel bonheur, si on pouvait colorer notre grisaille au moins la crise de la covid serait plus supportable.
Mémé
Mais c’est dans les bois de Teyran côté Assas, non? Là où Knelle et sa gardienne prenne le frais l’été…. il me semble…